Dieu aime les belles choses, et nous pouvons apprendre à les apprécier aussi. Quel dommage d'être aveugle et sourd devant la gloire de la création de Dieu !


Nous pouvons connaître un peu l'émotion qu'on a quand on apprécie la beauté; mais pouvons-nous éprouver la plus grande émotion créée quand on apprécie la gloire de son message de salut ? L'évangile est-il un système de théologie abstraite, aussi impersonnel qu'un traité de mathématique ou de chimie ? Si oui, il faut faire un effort pour nous en nourrir, car aucune faim du coeur ne serait alors possible ! S'assurer le salut est-ce un procédé commercial d'engagement aussi froid que la signature d'une police d'assurance ?


Le véritable évangile est fantastiquement merveilleux, c'est un message qui étreint le coeur plus profondément et plus longtemps que tout amour humain ne pourrait le faire. La vérité directe du Nouveau Testament apparaît fraîche et différente de tout le reste, pour beaucoup de ceux qui l'entendent. Il leur semble scandaleux d'admettre que Jésus ait dit qu'il y a une seule condition préalable au salut : « Dieu a tellement aimé le monde qu'il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » (Jean 3 :16) Ainsi, notre rôle est de croire (en grec, croire et avoir la foi sont le même mot). Ainsi Jésus a enseigné clairement que le salut vient de la foi, et comme il n'a ajouté rien d'autre, il a voulu dire évidemment que le salut vient de la foi seule.


Cela nous fait pousser un soupir de soulagement. N'est-il pas nécessaire de garder les commandements, de payer la dîme, de faire des offrandes, de garder le jour du seigneur, et de faire de bonnes oeuvres, à l'infini ? Oui, mais nous n'avons pas le droit d'ajouter à Jean 3:16 des mots qu'il n'a pas prononcés.


Alors Jésus a-t-il enseigné l'hérésie qui berce tant de gens dans la tromperie du « ne rien faire et aimer le monde » ? Non, il a enseigné le genre de « foi qui oeuvre » et qui elle-même produit l'obéissance à tous les commandements de Dieu. Une telle foi rend le croyant « zélé pour les bonnes oeuvres » si nombreuses qu'elle ne peuvent être comptées (Galates 5:6; Tite 2:14). Dieu a déjà accompli l'acte d'aimer et de donner. Notre acte de croire se produit quand on répond à cette Bonne Nouvelle en y attachant tout le prix qui convient - et quand nous nous abandonnons à lui avec tout ce que nous avons. Les oeuvres à l'infini succèdent à une telle foi véritable aussi certainement que le fruit succède aux semailles.


C'est une faute tragique de supposer que le véritable message de l'évangile est indulgent au sujet des oeuvres. La pure justice par la foi est le seul message qui peut produire toute autre chose que « des œuvres mortes ».


Dimensions de l'amour manifesté à la croix


Quelle fut la dimension de l'amour du Père ? Notons avec soin ces mots de Jean 3:16 : « Dieu a tellement aimé... qu'il a donné son fils unique ». Il ne l'a pas simplement prêté, il l'a donné.


Selon notre jugement, il est aisé de supposer que Jésus nous fut prêté comme un missionnaire ou un diplomate étranger qui passa trente trois ans d'exil solitaire sur terre, puis retourna à la sécurité et au luxe de son port d'attache céleste. L'agonie de la croix dura juste quelques heures, et l'épisode entier de sa vie sur terre semble être un temps de service relativement bref, comme celui du diplomate à l'étranger. Mais cette idée n'est pas juste.


La réalité de ce sacrifice signifie infiniment plus que la plupart des Chrétiens n'imaginent. Une opinion plus juste et réelle apporte un éclair de vérité qui fait fondre le coeur dur de celui qui regardera ce sacrifice et y attachera du prix.


Quand Jésus vint sur terre en tant que notre Sauveur, il vint du Ciel où son « origine remonte aux temps anciens, aux jours de l'éternité » (Michée 5:2). Il a toujours été le divin Fils de Dieu, de sorte que ce fut déjà un grand sacrifice pour lui de quitter le ciel, et de venir dans ce monde enténébré afin d'y souffrir et mourir pour nous. Mais il donna encore plus. Paul parla des sept étapes de son abaissement :


Christ Jésus... existant en forme de Dieu, n'a pas regardé comme une proie à arracher d'être égal avec Dieu, mais s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes, et ayant paru comme un simple homme, il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix. (Philippiens 2:5-8)


Rien dans la Bible ne suggère que ce fut un prêt pour trente-trois ans seulement. Ce fut un sacrifice éternel. Pour toute l'éternité, il se donna à nous. Il revêtit notre nature à tout jamais. Il est descendu plus bas que les anges. Il est pour toujours notre Frère. Cette vérité commence à révéler la dimension de l'amour qui l'amena à mourir pour nous.


Qu'on le croit ou non, il y a en lui une puissance qui subjugue, et le coeur doit rester silencieux en présence de ce fait qui inspire la crainte respectueuse. Quand cette vérité bénie selon laquelle le sacrifice du Fils de Dieu fut un sacrifice éternel et tout pour moi, la réponse de notre coeur doit être comme celle du roi d'Israël Achab qui « marchait lentement » devant Dieu après que son coeur se soit repenti (1 Rois 21:27).


Donc, croire signifie apprécier cet amour incommensurable, éprouver une crainte respectueuse, laisser son coeur s'émouvoir au point d'oublier ses désirs et ses ambitions mesquines, et laisser cet amour motiver une piété qu'on ne rêvait jamais possible de ressentir. La justice ne procède pas de la foi et des oeuvres; elle vient de « la foi qui accomplit des oeuvres » (Galates 5:6).


Mais il y a un problème. Comment pouvons-nous apprendre à attacher un grand prix à cet amour, pour que cette foi puissante puisse commencer en nous ? Y a-t-il davantage dans cet amour que nous n'avons vu encore ?


Pourquoi le message de la croix est-il puissant ?


La réponse à cette question réside dans la compréhension du genre de sacrifice que Jésus a accompli sur la croix, Paul trouve sa plus grande joie en elle, car sa réalité résout un problème que tous les psychiatres et les conseillers du monde sont impuissants à résoudre : le problème de l'être profondément centré sur lui-même. « J'ai été crucifié avec Christ » dit-il (Galates 2:20). Le mot grec est égo. Là l'évangile pénètre jusqu'à l'élément le plus fondamental de la psychose universelle de l'humanité.


Paul ne parle pas d'une haine de soi-même. Il a vu une puissance dynamique dans la croix que la plupart d'entre nous n'ont jamais vue. Et parce que nous ne l'avons pas vue, nous ne pouvons nous empêcher de rester centrés sur nous-mêmes et satisfaits dans notre dévotion à l'égard du Fils de Dieu qui s'est donné pour nous. La vie même dont nous jouissons a été achetée par son sacrifice, que nous le croyions et l'apprécions ou non. Car pour ceux qui l'apprécient et croient ainsi, la délivrance de la tyrannie du moi se produit, et pour eux il a aussi acquis la vie éternelle (2 Timothée 1:10).


Qu'y a-t-il de si spécial au sujet de Jésus mort pour nous ? Des milliers de gens sont morts, et beaucoup ont souffert une agonie physique plus longue que lui. La différence est-elle seulement dans la personnalité de la victime ? Il était divin (alors que nous qui mourons, sommes humains) de sorte que sa mort aurait assez de prix pour satisfaire les exigences légales de la loi ?


Quelque vrai que ce concept légal puisse être il ne rend pas justice à la croix de Christ.


Quand « Il s'est humilié lui-même... même jusqu'à la mort de la croix », il a souffert ce que Paul appelle « la malédiction de la loi », étant devenu une malédiction pour nous. Paul cite Moïse qui décida qu'un criminel condamné à mourir sur un arbre est automatiquement « maudit de Dieu ». C'est-à-dire que Dieu lui a fermé la porte du ciel et a refusé d'entendre ses prières pour être pardonné (Cf. Philippiens 2:5-8; Galates 3:13; Deutéronome 21:22,23). Le criminel doit souffrir la douleur extrême de la détresse du coeur, causée par le désespoir complet. Ne restez pas accroché à la question de savoir si cela était juste ou non. Moïse l'a dit, et tous l'ont cru. Cette « malédiction » ne s'appliquait pas aux autres moyens d'exécution comme la décapitation ou la lapidation. Personne ne sait si à l'époque d'avant Christ certaines victimes crucifiées ont manifesté la foi dans le Sauveur à venir. Si oui, de cette malédiction, leur âme aurait été délivrée, car elles auraient ressenti une espérance en Christ, « l'Agneau immolé depuis la fondation du monde » (Apocalypse 13:8). Sûrement le brigand croyant, crucifié avec Christ, a connu cette espérance.


C'est pourquoi une crucifixion était un évènement considéré comme un gala de cirque. La victime était totalement perdue pour Dieu, et devait être tourmentée comme les désirs sadiques de tous pouvaient le décider. Si vous, en tant que spectateur, êtes « saints », alors vous devez montrer que vous accepter le jugement de Dieu à son égard, le maudire aussi, et faire tout ce que vous pouvez pour augmenter son tourment. Si vous ne haïssez pas et n'outragez pas le pauvre misérable sur la croix, selon Moïse, vous montrez que vous êtes en désaccord avec Dieu.


Quand Christ pendait sur sa croix, les gens pensaient que leur devoir était de l'injurier. Ne dites pas qu'il était trop intelligent et trop bien informé pour laisser cette « malédiction » le faire souffrir. Paul ajoute que Dieu « fit que lui qui ne connut pas le péché, devienne le péché pour nous » (2 Corinthiens 5:21). Il ressentit cette malédiction qui était la nôtre de droit, et elle le tua.


La Bible parle de deux sortes différentes de mort, et nous ne devons pas nous méprendre sur celle que Christ a subie. Ce qu'on appelle la mort, la Bible l'appelle « sommeil », mais la mort réelle s'appelle « la seconde mort » (1 Thessaloniciens 4:13-15; Apocalypse 1:11; 20:14). C'est la mort où l'on ne voit pas un rayon d'espoir, car on se sent totalement abandonné de Dieu, dans des ténèbres totales horribles, et sous la condamnation qui exclut justification, résurrection et espérance.


Plus que cela, c'est la mort où l'on ressent tout le poids de la culpabilité du péché, le feu de sa propre condamnation, et où chaque cellule de l'être est saisie douloureusement d'une totale horreur de soi. Une telle personne ne peut pas avoir de sentiments d'innocence. Cette mort est la malédiction que Moïse a indiquée. Depuis la création, aucun homme n'a encore connu la « seconde mort », ni souffert de la pleine conscience de ce complet abandon par Dieu - à l'exception de Jésus. C'est pourquoi il a été « fait malédiction pour nous » (Galates 3:13). Même les milliers de crucifiés de l'époque romaine ont évité cette pleine conscience de ténèbres que Jésus a ressentie, car il a toujours été « la vraie lumière qui éclaire tout homme qui vient dans le monde » (Jean 1:9).


Personne d'autre n'a jamais été physiquement ni spirituellement capable de ressentir tout le poids de cette culpabilité du péché, ni de bien réaliser la gloire du ciel perdu. Pas même les célèbres assassins qui parfois montent sur la chaise électrique, n'ont encore subi la « seconde mort ». Aucun être humain perdu ne peut être conscient de tout ce poids, tant que le Souverain Sacrificateur céleste continue à officier en tant que représentant de l'humanité, car il est toujours « la propitiation... pour les péchés du monde entier » (1 Jean 2:2).


La Bible nous donne une connaissance unique de la nature de la mort de Christ. Dans trois livres importants sur « agapè », j'ai vu que les auteurs n'ont pas la connaissance profonde que Paul a trouvée dans la croix. D'après lui, Jésus ne pouvait pas voir au-delà de la tombe. Quand il s'écria « Mon Dieu pourquoi m'as-tu abandonné ? », ce n'était pas un texte d'acteur à réciter comme un rôle. L'espérance ne lui présenta pas sa sortie du tombeau en conquérant, ni ne lui dit que le Père acceptait son grand sacrifice. Ésaïe dit qu'« il a livré son âme à la mort » (1 Jean 2:2). Christ a éprouvé pleinement l'angoisse qu'un pécheur ressentirait si la miséricorde ne plaidait plus en faveur de la race coupable.


Un amour qui surpasse toute connaissance


Dans Éphésiens 3:14-19, on peut essayer de mesurer un peu les dimensions de l'amour révélé à la croix comme Paul les a vues :


Je fléchis les genoux devant le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, afin qu'étant enracinés et fondés dans l'amour, vous puissiez comprendre avec tous les saints qu'elle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et connaître l'amour de Christ qui surpasse toute connaissance, en sorte que vous puissiez être remplis de toute la plénitude de Dieu.


a) Paul ne s'intéresse pas au fait que nous fassions ceci ou cela, mais il prie afin que nous puissions comprendre quelque chose. Il sait que si nous saisissons ce que signifie la croix, une nouvelle motivation remplira notre coeur, et que toute action droite produira alors les bonne choses que nous avions toujours cru impossibles, pour nous. L'étude de la Bible et la prière deviennent un plaisir. Même le sacrifice deviendra un délice.


b) Pour que Christ habite dans notre coeur par la foi il faut que nous soyons « enracinés et fondés dans l'amour (agapè). C'est une autre façon de dire que la foi est une appréciation ressentie par le coeur, de cet amour.


c) Les dimensions de cet amour sont aussi hautes que le ciel, aussi profondes que l'enfer, aussi vastes que l'humanité, et aussi grandes que les besoins de notre coeur ou de celui de quiconque.


d) Il est possible pour nous alors, de connaître « par la foi » ce qui « surpasse toute connaissance ». N'attendons pas l'éternité pour commencer à l'apprécier ! Sans faire un effort avec notre esprit et notre coeur pour le « comprendre », nous risquons même de ne pas entrer dans la vie éternelle. Celle-ci n'est pas une orgie matérialiste et sensuelle, telle que beaucoup de Musulmans imaginent le ciel; elle commence ici avec une nouvelle prise de conscience spirituelle.


Notre coeur est si petit, si recroquevillé à cause de l'amour du moi et du monde, que l'histoire simple de la croix à de la peine à avoir une prise sur lui. Notre coeur minuscule a besoin d'être élargi, comme David le demanda, « je courrai dans la voie de tes commandements, car tu élargiras mon coeur » (Psaumes 119:32).


e) L'apôtre Paul pria pour que nous puissions nous unir « à tous les saints » et comprendre cette précieuse réalité. La réponse à la prière de Paul est la pénétration du message de l'évangile dans notre conscience. Il résout le problème de notre universelle affaire d'amour avec notre moi.


Pourquoi cette vérité n'a-t-elle pas été comprise comme elle mérite de l'être ?


Satan sait que si l'homme peut apprécier les dimensions de cet amour révélé à la croix, il sera « rempli de toute la plénitude de Dieu » (Éphésiens 3:19). Aussi l'ennemi veut- il éclipser ou obscurcir cet amour.


Cela a été l'oeuvre principale de la « petite corne » de Daniel 7 et 8, et de la « bête » et de « Babylone » d'Apocalypse (Daniel 8:9-13; 7:25; Apocalypse 13:1-8; 14:8; 17). Il y a longtemps, aux premiers siècles, cette puissance apostate chercha à dénaturer cette idée juste et essentielle de la justice par la foi.


Pour cela, elle a inventé la doctrine de l'immortalité naturelle de l'âme car presque tout le monde y croit. Cette idée vint du paganisme et fut adoptée par les Chrétiens des premiers siècles qui dévièrent et s'éloignèrent de la doctrine du Nouveau Testament. La Bible enseigne que la nature de l'homme est mortelle, et que Dieu « seul a l'immortalité » (l Timothée 6:16). L'immortalité réside en Christ, et sera conférée aux croyants à sa venue, lorsque « ce corps mortel doit revêtir l'immortalité (1 Corinthiens 15:53-55). Ce que nous appelons « la mort », Jésus l'appelait « sommeil », disant par exemple « notre ami Lazare dort »... Alors Jésus leur dit carrément, « Lazare est mort » (Jean 11:11,14). Paul parle également des morts comme de ceux qui dorment en Jésus : « Le Seigneur lui-même descendra du ciel avec un cri et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants qui seront restés, seront pris et enlevés tous ensemble avec eux sur les nuées pour aller à la rencontre du Seigneur dans les airs. Et ensuite, nous serons toujours avec le Seigneur » (1 Thessaloniciens 4:14-17).


Ce mensonge a eu un effet dévastateur sur la justice par la foi, car il la réduit à rien. La vaine complaisance qui envahit l'église mondiale vient de faux concepts populaires de l'évangile, en rapport avec cette idée païenne. (L'immortalité réside en Christ seul, et nous sera conférée à la résurrection. Elle n'est pas innée séparément de Christ. Les perdus ne l'auront jamais).


Les idées fausses produisent une expérience faible


Le résultat est un « délayage » de l'idée de foi qui devient une recherche égocentrique de sécurité, et d'une récompense au ciel. La plus haute motivation possible reste centrée sur 1'égo. Toutes les religions païennes ont la même base. Très peu d'églises chrétiennes peuvent triompher de la doctrine pagano papale de l'immortalité naturelle.


En dépit de leur grande « sincérité », tant que les esprits sont ainsi aveuglés, ils ne peuvent pas apprécier les dimensions de l'amour révélé à la croix, et ne peuvent donc pas totalement comprendre la vraie justice par la foi. Le résultat est là : une tiédeur généralisée, un orgueil spirituel, une propre satisfaction, une dépendance du système centré sur l'égo. La peur se cache toujours sous sa surface comme motivation. L'espoir de la récompense est aussi une motivation du moi. Quand on déforme la foi pour devenir égocentrique, l'Évangile est paralysé.


Luther comprit cette dynamique de la foi, à savoir l'appréciation de l'amour agapè par le coeur; cependant, il ne saisit pas comme il faut ses vraies dimensions. Ses disciples reprirent le concept de l'immortalité naturelle qui conditionne les idées les plus populaires de la justification par la foi. Il est vrai que certains manifestent un sincère dévouement à Christ, tout en admettant la fausse doctrine de l'immoralité naturelle mais quelques exceptions confirment la règle. Quand une idée païenne pénétra dans l'Église, en général, le résultat certain est une disparition du zèle en faveur de Christ.


L'Évangile commence à trancher les liens qui nous ont attachés à ces idées en faillite, pour redécouvrir ce que Paul et les apôtres ont vu. Les messages des trois anges d'Apocalypse 14 annoncent cette reconquête de la vérité.


Pénétrons plus profondément dans cette conception néo-testamentaire de la Bonne Nouvelle.