Dans les débris de la ruine des anciens empires se trouve une pierre précieuse inestimable, d'une beauté indescriptible : la Bonne Nouvelle de l'Évangile Néo-Testamentaire. Elle a un jour sauvé la civilisation du suicide.


La plus grande partie du problème qui tourmente le monde est fondé sur le mal inhérent à la nature humaine. En quelque sorte, il manipule la société et les individus pour qu'ils choisissent la voie de l'égoïsme. De là, les horreurs que nous voyons aujourd'hui, telles que la culture des drogues, la corruption, le crime, la guerre, une menace de cataclysme mondial.


Il faut en convenir, la lumière est plus forte que les ténèbres, mais est-il vrai aussi que le bien est plus fort que le mal? L'amour peut-il vraiment triompher de la haine? (Par exemple, le Moyen-Orient pourra-t-il jamais apprendre à aimer? Les millionnaires de la cocaïne pourront-ils se convertir?). La Bonne Nouvelle pourra-t-elle triompher des mauvaises nouvelles?


Des millions de jeunes perturbés en doutent. Ils ont le sentiment viscéral que le destin de l'humanité est irréversible. Si le SIDA ne nous tue pas, la diminution de la couche d'ozone le fera. « Demain nous mourrons » disent-ils, et ils s'adonnent aujourd'hui à la satisfaction des plaisirs hédonistes.


Leur cynisme est au moins rationnel. Ils savent que les ressources du monde pourraient suffire à éliminer la faim et le besoin, et pourtant, une pauvreté massive se rit de nous. Ils sentent que si les problèmes des autres sont insolubles, il en sera de même un jour des leurs. John Donne, au dix-septième siècle, dévoila nos vrais sentiments, inconscients peut-être, mais néanmoins si significatifs :


« La mort de l'humanité me diminue, car je fais partie de l'humanité. C'est pourquoi, n'envoie jamais demander pour qui sonne le glas; il sonne pour toi. »


Non seulement les jeunes sont troublés, mais les grands-parents s'inquiètent aussi au sujet du genre de vie qu'ils lègueront à leurs petits-enfants. Aussi longtemps que la faim et le malheur submergent les masses du Tiers-monde (qui incluent maintenant certaines de nos cités d'Amérique à l'intérieur des U.S.A.), la sécurité de notre planète deviendra de plus en plus précaire. Comment pourrons-nous rester toujours comme dans une forteresse où règne l'abondance, au milieu d'un océan de besoins et de rancunes? Nos petits-enfants devront-ils barricader leurs foyers derrière les A.K. 47?


Dans notre propre Amérique du Nord, nous avons à faire à une troublante désintégration de la société. En 1964, le Président Lyndon Johnson promit : « Les jours de chômage sont révolus ». Trois décennies plus tard et des millions de dollars après, où est cette « Great Society » ? Les pauvres sont généralement plus pauvres, et les riches plus riches...


Alors que les pauvres désespèrent, les gens aisés, eux aussi, découvrent que les problèmes de la lutte pour la vie dans les affaires font payer un tribut mortel au psychisme humain. Richard Reeves, écrivant pour le compte du « Universal Press Syndicate », dit que : « Beaucoup d'entre nous « craquent », terrassés par la drogue ou l'alcool, par la jalousie ou par les déplacements continuels, par nos propres démons ou par nos faiblesses... L'Amérique devient-elle dingue?


Si l'Amérique elle-même, avec tous ses moyens financiers, et les énormes capacités de ses comités et groupes d'experts, ne peut pas résoudre ses problèmes de drogue, de crime, d'anaphalbétisme, de violence et de pauvreté, les jeunes sont en droit de se demander quel espoir il peut encore y avoir pour le monde lui-même. L'exemple de la liberté donné par l'Amérique a été « la dernière meilleure espérance de l'humanité ». Si cette nation se détruit elle-même, de nouveaux Hitler commenceront à fleurir partout.


La revue « Insight » nous dit que la criminalité qui a infesté notre paupérisme « dans les grandes villes a atteint des dimensions effrayantes ». La dégradation qui a gagné progressivement l'intérieur des cités, choque profondément ceux qui se souviennent d'une ère de sécurité et de civilisation qui régnait il y a seulement quelques années encore. À Harlem, des camionnettes montent maintenant sur les trottoirs pour vendre de la drogue à des files de gens groupés par rangs de vingt. « Même les pires de mes rêves n'allaient jamais jusque-là à ce sujet » dit Shakoor Aljuwani, du Youth Action Construction Training Program. « Je n'aurais jamais pensé que cela pourrait se détériorer à ce point-là. »


Pourquoi, avec les yeux grands ouverts, les hommes s'adonnent-ils à la cocaïne et à d'autres choses? Ces intoxications sont fondamentalement un suicide. Seule une espèce très malade se détruira. À moins qu'il n'y ait un changement, on peut concevoir un scénario pour le vingt et unième siècle, qui soit celui d'une société polarisée avec des prisons hideuses et massives, et des hôpitaux pour criminels, pour les victimes du SIDA, et des zombies drogués, avec des gens « normaux » travaillant comme des esclaves à plein temps pour les faire vivre.


Un nuage sinistre se situant à un horizon très proche, suggère la venue possible d'un Hitler « ressurgi » qui cèderait à une pression publique indignée et excédée, et organiserait une « solution finale » à meilleur marché, cette fois pour les criminels, trafiquants de drogues et divers indésirables. Le nazisme ne fut que le jaillissement en surface d'un courant souterrain de démence collective, qui attend toujours l'occasion d'une crise de colère populaire.


Certains analystes non religieux modérés blâment maintenant ouvertement la sexualité des adolescents, et l'infidélité maritale comme étant la cause et la racine de notre syndrome dû à l'explosion de la pauvreté, du crime et des intoxications. Tandis que les mariages solides conduisent presque toujours à une prospérité raisonnable et à l'ordre, les familles avec un seul parent sauf quelques exceptions, tendent à graviter vers des manques plus profonds.


Est-il pénible de croire à un Dieu d'Amour?


Les foyers brisés « appellent et créent le chaos. Le crime, la violence, l'agitation, le désordre... sont presque inévitables ». La télévision, les films, propagent l'infidélité dans chaque esprit. Elle est le ferment moral que Jésus a prédit pour notre temps : « Parce que l'iniquité abondera, l'amour de beaucoup de gens se refroidira. » (Matthieu 24:12, KJV) Il se refroidit parce que les gens n'y croient plus.

L'iniquité est le dérèglement, une rébellion interne du coeur contre les principes moraux de Dieu. Si nous trouvons difficile de concevoir l'existence d'un Dieu juste, il nous suffit de nous mettre à raisonner à partir de la réalité du mal, dans le passé : « L'esprit charnel est inimitié contre Dieu; car il n'est pas soumis à la loi de Dieu. » (Romains 8:7) Le mystère de la nature humaine perverse est suffisant pour prouver que la Bible est vraie, car la réalité du moi présuppose l'existence du bien, exactement comme une ombre présuppose une lumière derrière l'objet qui l'arrête.


Qu'une personne soit religieuse ou non, elle peut difficilement nier que nous sommes arrivés à une époque décrite avec précision par Jésus quand il a dit que « le coeur des hommes défaille de terreur dans l'attente de ce qui surviendra pour la terre. » (Luc 21:26) Mieux on est informé, plus on est effrayé par les ombres du lendemain.


Mais il reste une espérance. Alors que les nouvelles quotidiennes empirent constamment, la Bonne Nouvelle le devient d'autant meilleure.


Notre sombre avenir est éclairé


La Bible arrive sur le devant de la scène avec un message d'espoir qui coupe le souffle. Elle nous assure qu'il y a un Dieu personnel, un Père céleste, un Sauveur Créateur qui aime vraiment ce monde satanique, immoral, violent, égoïste, cruel et dément.

Cette Bonne Nouvelle surpasse toutes les mauvaises nouvelles, car Dieu est la source d'un amour positif, actif, et qui, par sa nature doit être efficace.


Les mots les plus connus dans la plupart des langues sont ceux-ci : « Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » (Jean 3:16) La plupart d'entre nous trouvent qu'il est difficile de chérir un être sale et repoussant. Dieu étreint sur son coeur notre planète, méchante et souillées comme elle l'est. Il est comme un père enlaçant un fils prodigue, prenant le mal sur lui et l'effaçant. Cet amour est la vérité la plus prodigieuse que l'humanité puisse contempler.


Cette nouvelle idée a étonné le monde corrompu de l'époque du Nouveau Testament. Il est probable qu'une portion de la population aussi grande alors que maintenant croyait en un Être Suprême, mais les aristocrates et les esclaves romains trouvèrent incompréhensible que Dieu se soucie réellement d'une humanité sans valeur. S'il le faisait, comment pouvait-il voir des injustices telles que l'esclavage, la corruption politique et le sang des gladiateurs du Colisée et ne pas faire quelque chose?


Imaginons le tumulte créé par les apôtres quand ils insistèrent sur le fait que Dieu aime vraiment les gens vils, égoïstes, cruels et méchants. Non qu'il aime leur méchanceté, mais il les aime. « Il aime les esclaves, les gladiateurs, les prostituées, les meurtriers, les collecteurs d'impôts rapaces, les empereurs cruels? » demandaient les Romains. « Oui », dirent les apôtres. « Dieu n'envoya pas son Fils dans le monde pour condamner le monde, mais pour que le monde puisse être sauvé par lui. » (Jean 3:17) C'était une idée révolutionnaire, radicale pour les gens qui avaient considéré que Dieu, indifféremment, protégeait les bons et haïssait les méchants.


Mais un tel renversement des anciennes valeurs ne pouvait pas convaincre les gens, sauf si une preuve solide le soutenait. Les apôtres ont dû prouver qu'ils n'inventaient pas un tel amour avec leur propre imagination, la preuve était là, incontestable : quand le Fils de Dieu fut exécuté par les soldats romains cruels, il fit ce qui est impensable - il aima ses ennemis et pria pour eux : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font. » (Luc 23:34)


Personne ne pouvait se rappeler que quelqu'un ait jamais dit cela. Pour que le monde entier le voit, Christ avait démontré que « Dieu est amour » (1 Jean 4:8), un amour véritable que l'humanité ne pouvait pas simuler. Or, le monde était retourné sens dessus dessous. (Actes 17:6)


Aucune créature venant de Mars n'aurait une nouvelle plus sensationnelle à annoncer. Un amour qui ne dépend ni de la beauté, ni de la bonté de son objet. L'amour de Dieu englobe aussi les gens laids, abjects et sans valeur, et crée réellement une valeur en eux. Quand les gens apprennent cela, ils exigent d'en savoir plus.


Les plus grands penseurs de l'époque avaient vanté l'amour libre. Celui d'Alceste pour Admète semblait la révélation suprême de la bonté divine - elle était volontaire pour mourir en faveur d'un homme bon. Les apôtres dirent non, ce n'est pas la réalité : « La preuve de l'amour étonnant de Dieu la voici : Alors que nous étions des pécheurs, Christ mourut pour nous... alors que nous étions Ses ennemis. » (Romains 5:8,10; Phillips) Les Juifs et les Romains se regardaient les uns les autres avec stupéfaction.


S'il y avait un Dieu les anciens imaginaient qu'il demeurait dans un isolement hautain, attendant que les humains le découvrent. Christ l'a révélé en contraste comme un Sauveur personnel « venu chercher et sauver ce qui était perdu » (Luc 19:10).


Le résultat pratique de cette nouvelle idée de l'amour


Ceux qui apprirent cette nouvelle devinrent fous de joie. Leur vie monotone prit soudain un sens précieux. Peine, déception, douleur, esclavage et martyr, devinrent honorés et sacrés à la lumière d'une si nouvelle révélation. La mort ne créa plus de terreur, car Christ lui avait ravi son aiguillon (1 Corinthiens 15:55-57). Dieu lui-même est venu tout près de nous, il a pris sur lui notre nature, il a souffert avec nous, il est devenu corporellement un avec nous! Tout esclave croyant devenait un prince, et tout prince croyant était prêt à s'agenouiller près de son esclave.

En venant sous la forme de son Fils, Dieu avait fait quelque chose qui semblait incompréhensible. Il était descendu de plus en plus bas jusqu'à une telle condescendance qu'il atteignit une profondeur au-delà de laquelle l'humiliation ne pouvait pas exister. Ceux qui entendirent les apôtres virent un escalier ne conduisant pas de l'homme à Dieu, mais de Dieu à l'homme, au niveau le plus bas de notre humanité déchue. Non seulement il abandonna les anges et s'humilia en devenant un homme, mais il naquit dans une pauvre cabane près de bêtes rudes. Puis il mena une vie de service familial et de durs travaux. Enfin, il décida d'obéir jusqu'à la mort, affrontant son horreur en héros surhumain, sans essayer d'échapper au jugement par le suicide.


Et ce n'est pas tout. Ce qui remuait la pensée des gens, c'était le fait que ce Fils de Dieu avait été rejeté par les chefs de son propre peuple, on le crucifia comme un criminel sur une croix romaine, et il souffrit la détresse suprême quand Dieu le rejeta; et l'on croyait jadis que « celui qui était pendu sur le bois était maudit par Dieu » (Deutéronome 21:23; Galates 3:13).


Le Fils de Dieu avait souffert l'équivalent de l'enfer! Il avait sacrifié non seulement sa vie ici-bas, mais même ses espérances d'éternité, et c'est cela qui amenait les gens à y penser et à en discuter des nuits entières. Les hommes firent un effort fantastique pour « comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur - et connaître l'amour de Christ qui surpasse toute connaissance. » (Éphésiens 3:18,19) Il ne pouvait pas voir la perspective de sa résurrection.


Quand on contemple cet acte divin, on trouve une puissance phénoménale pour changer de vie. Après avoir perdu l'appétit en recherchant cette vérité, on se trouvait en face de la vie comme un être nouveau. Une raison différente de vivre se présentait, surpassant la souffrance et le plaisir. Un tel amour a accompli l'impossible pour les grands et les petits, les riches et les pauvres, les libres et les esclaves; « Il libéra ceux qui, par crainte de la mort étaient toute leur vie retenus dans la servitude. » (Hébreux 2:15) Le dénominateur commun qui est à la base de toutes les douleurs humaines s'était évaporé. Comprenons l'émotion que ces gens ressentirent :


« L'amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions pour lui. (L'amour agapè) s'est manifesté parmi nous en ceci : afin que nous ayons de l'assurance au jour du jugement, car tel il est, tels nous sonnes dans ce monde. La crainte n'est pas dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte. » (1 Jean 4:8-18)


La résurrection de Christ a prouvé la vérité de l'Évangile


Et pour couronner cette magnifique Bonne Nouvelle, le Fils de Dieu s'était levé d'entre les morts le troisième jour après son exécution ignominieuse. Il avait déclaré triomphalement qu'il avait les clefs de la mort et du tombeau, de sorte que tous ceux dont le coeur avait apprécié les dimensions de son amour révolutionnaire triompheraient de la mort avec lui. (Apocalypse 1:17,18)

La dynamique de cet amour qui change la vie est enchassée en un joyau inestimable dans les paroles de Paul. Il dit pourquoi et comment ceux qui ont cru à cet amour ont trouvé la puissance dans cette Bonne Nouvelle :


« L'amour de Christ nous presse, parce que nous estimons que, si un seul est mort pour tous, tous donc sont morts; et qu'il est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort pour eux et est ressuscité. » (2 Corinthiens 5:14,15; KJV)


Enfin une vérité divine était entrée dans les défenses secrètes de notre état d'esprit égocentrique. Elle avait détecté la source de l'égoïsme : « moi d'abord », et l'avait anéantie. Ainsi, la racine d'où venaient tous les fruits amers de la méchanceté humaine avait été arrachée grâce à l'humble sacrifice et à la glorieuse résurrection de Christ. Presque subitement, des croyants qui avaient été vils, laids et cruels, furent changés en personnes aimables et aimantes. Ceux qui pensaient qu'ils avaient tout ce que le coeur pouvait désirer, découvrirent combien le succès du monde est vide sans Christ. Voici ce qu'avait accompli la Bonne Nouvelle.


Dans certaines pages du Nouveau Testament écrites par Paul, l'apôtre donne une liste partielle des diverses sortes de libérations produites par ce simple évangile. Des croyants avaient été auparavant des « impudiques », des « idolâtres », des « adultères », des « homosexuels", des « infâmes », des « voleurs », des « cupides », des « ivrognes », des « ravisseurs ». C'est là ce que vous étiez, quelques uns de vous, dit Paul aux Corinthiens. Mais ils connurent la délivrance de ces obsessions intimes, et devinrent des êtres nouveaux « purifiés » et « sanctifiés ».


Ces gens ne firent rien pour obtenir cette extraordinaire libération de leurs chaînes; ils avaient vu quelque chose, et y avaient cru : la Nouvelle du Pardon par le Fils de Dieu. Dans un monde où la cruauté égoïste est habituelle, cette révélation devint une purification. Dans le passé, aucun philosophe, dramaturge, poète ou prêtre n'avait jamais imaginé des idées aussi étonnantes.


La même Bonne Nouvelle est puissante aujourd'hui


Cet amour de Dieu pour les pécheurs est toujours la meilleure Bonne Nouvelle que quiconque puisse jamais entendre. Il est positif, actif, persistant, en recherche et reste aussi puissant aujourd'hui que toujours. Personne ne peut l'ignorer. Ou vous y croyez, ou vous n'y croyez pas. On ne peut pas rester indifférent quand il est proclamé sincèrement.

Les maux les plus horribles du monde moderne proviennent de la même source : l'égoïsme, qui fut le fléau du monde au premier siècle. Cette Nouvelle pourrait-elle transformer les marchands de cocaïne et les drogués, les prostituées, les détourneurs de fonds, les racistes, les meurtriers, les matérialistes sensuels d'aujourd'hui? Des millions de gens disent oui. Bien plus, le Saint-Esprit au moyen de la Bible dit oui. Elle transforme aussi les gens riches, bien éduqués et suffisants, les hommes d'affaires au coeur dur, les savants et les politiciens.


Trois raisons peuvent être évoquées pour ne pas croire à un tel amour :


a. Puisque les gens qui se respectent ne serrent pas dans leurs bras les gens mauvais, indignes et sales, pourquoi Dieu le ferait-il?


b. Comment un Dieu infini peut-il avoir les sentiments que nous avons?


c. S'il aime vraiment le monde, pourquoi ne le prouve-t-il pas en faisant quelque chose pour arrêter sa chute vers la destruction?


Beaucoup de gens supposent qu'il n'y a pas de réponse à cela. La sagesse conventionnelle en effet, n'en a pas, mais c'est là que la Bible les surpasse, et réfute les doutes de front.

Nous allons examiner ces questions dans le chapitre suivant.